La fonction binom.test() réalise un test de conformité d’une proportion mesurée dans un échantillon et permet de savoir si cette proportion est différente d’une valeur cible. Pour cela on compare Pobs à Pthéo, dans un échantillon de n individus.   Pour réaliser ce test il est nécessaire d’avoir un échantillonnage aléatoire et que la condition suivante soit respecter : n Pobs  ≥ 5  et n (1-Pobs ) ≥ 5   On utilise la fonction binom.test(x, n, p) où :                                x : nombre de succès                                n : nombre d’essais                                p : probabilité théorique   Exemple :                # 92Read More →

Le coefficient de corrélation, mesuré par la fonction cor(), permet de savoir à quel point deux variables quantitatives sont corrélées. Il existe 3 méthodes pour tester la significativité de ce coefficient : la méthode de « Pearson », de « Kendall », et de « Spearman ».   Pour réaliser ce test il est nécessaire d’avoir un échantillonnage aléatoire et qu’il n’y ait pas de données manquantes. Si les deux variables suivent une loi Normale et que leur relation est supposée linéaire on utilise la méthode de « Pearson ». Si la relation entre les deux variables est supposée monotone on utilise la méthode de « Kendall » ou de « Spearman ». Nous utilisons les fonctions suivantes :Read More →

Le test non-paramétrique de Wilcoxon permet de tester l’égalité de deux moyennes lorsque l’hypothèse de normalité n’est pas validée. L’hypothèse H0 est « les moyennes sont égales » ou « la moyenne vaut une valeur x ». Pour réaliser ce test il est nécessaire d’avoir un échantillonnage aléatoire et que les lois suivies par les deux variables étudiées soient les mêmes. Pour tester l’hypothèse H0 on utilise la fonction wilcox.test(). A<-subset(iris,Species== »setosa »)[,4] #échantillonnage de la largeur des pétales chez l’espèce Setosa.   B<-subset(iris,Species== »versicolor »)[,4] #échantillonnage de la largeur des pétales chez l’espèce Versicolor.      #On test si la moyenne de la largeur des pétales de l’espèce Setosa vaut 0.5 : wilcox.test(A,0.5)Read More →

Le test de Student permet de tester l’égalité de deux moyennes. L’hypothèse H0 est « les moyennes sont égales » ou « la moyenne vaut une valeur x ». Pour réaliser ce test il est nécessaire d’avoir un échantillonnage aléatoire de chaque individu et que les ces deux échantillons suivent une loi Normale. Pour tester l’hypothèse H0 on utilise la fonction t.test(). data(iris) A<-subset(iris,Species== »setosa »)[,2] #On isole la 2ème colonne : la largeur des sépales   On commence par tester la normalité de cette variable grâce au test de Shapiro : shapiro.test(A)           Shapiro-Wilk normality test   data:  A W = 0.9717, p-value = 0.2715   La p-value est supérieurRead More →

Le test de Fisher-Snedecor permet de savoir si les variances de deux populations (δ1² et δ2²) sont égales ou non. L’hypothèse H0 testée correspond à δ1²= δ2². Pour réaliser ce test il est nécessaire d’avoir un échantillonnage aléatoire de chaque individu et que les ces deux échantillons suivent une loi Normale. On utilise pour tester cette hypothèse la fonction var.test(). data(iris) A<-subset(iris,Species== »setosa »)[,2] #On isole la 2ème colonne : la largeur des sépales   On commence par tester la normalité de cette variable grâce au test de Shapiro : shapiro.test(A)           Shapiro-Wilk normality test   data:  A W = 0.9717, p-value = 0.2715   La p-valueRead More →

La fonction seconds_to_period(), du package lubridate, permet de convertir un nombre de secondes en une période, et la fonction period_to_seconds() permet de convertir une période en un nombre de secondes. seconds_to_period(60) [1] « 1M 0S » seconds_to_period(150) [1] « 2M 30S » seconds_to_period(3600) [1] « 1H 0M 0S » seconds_to_period(4989000) [1] « 57d 17H 50M 0S »     period_to_seconds(seconds_to_period(60)) [1] 60 period_to_seconds(seconds_to_period(150)) [1] 150 period_to_seconds(seconds_to_period(3600)) [1] 3600 period_to_seconds(seconds_to_period(4989000)) [1] 4989000  Read More →

La fonction as.period(), du package lubridate, permet de convertir un intervalle en periode selon différentes unités.   library(lubridate)   span <- new_interval(as.POSIXct(« 2009-01-01 »), as.POSIXct(« 2010-02-02 01:01:01 »)) #On crée un nouvel intervalle span [1] 2009-01-01 CET–2010-02-02 01:01:01 CET   as.period(span, unit = « years ») [1] « 1y 1m 1d 1H 1M 1S »   as.period(span, units = « month ») [1] « 13m 1d 1H 1M 1S »   as.period(span, units = « day ») [1] « 397d 1H 1M 1S » as.period(span, units = « second »)[1] « 34304461S »    Read More →

La fonction period(), du package lubridate, permet de créer une période à partir d’un temps écoulé en année, en mois, en jour, ou encore en seconde : period(c(90, 5, 2), c(« second », « minute », « year »)) [1] « 2y 0m 0d 0H 5M 90S »   period(c(3, 1, 2, 13, 1), c(« second », « minute », « hour », « day », « week »)) [1] « 20d 2H 1M 3S »#Les semaines sont converties en jours (20 = 13 + 7)    period(30, « second ») [1] « 30S »  Read More →

La fonction DateUpdate(), du package lubridate, permet de modifier les composantes d’une date : l’année, le mois… ou encore les secondes. Cette fonction renvoie la date modifiée. library(lubridate)  #On crée un date  date <- as.POSIXct(« 2009-02-10 ») date [1] « 2009-02-10 CET »   update(date, year = 2010, month = 1, days = 1) [1] « 2010-01-01 CET »   update(date, minute = 10, second = 3) [1] « 2009-02-10 00:10:03 CET »    Read More →

La fonction as.POSIXct(), permet de créer une donnée de type « date » comprenant une année, un mois, un jour, et une heure, à partir d’un nombre de secondes écoulées et une date d’origine ou en insérant directement la date et l’heure : #Nous avons un nombre de secondes écoulées depuis le 1960-01-01 00:00:00 z <- 1472562988 # On convertie z en date : as.POSIXct(z, origin = « 1960-01-01 ») [1] « 2006-08-30 15:16:28 CEST »   #Nous pouvons également insérer directement une date #de type : « AAAA-MM-JJ HH:Min:sec » x <- as.POSIXct(« 2009-08-03 12:01:57.23 ») x [1] « 2009-08-03 12:01:57 CEST »  Read More →